Avec l’offloading, rendez votre réseau performant à tout moment
Digitalisation des usages, écosystèmes multi cloud hybrides, big data, travail à distance, cybercriminalité, etc. Soit autant de mutations qui non seulement s’accélèrent mais rendent aussi les environnements IT – et particulièrement les réseaux – de plus en plus complexes. En conséquence, 63 % des DSI estiment que cette complexité dépasse désormais leurs capacités de gestion humaine[1]. C’est pourquoi, les équipes IT doivent s’appuyer sur des solutions simples à mettre en œuvre et sur un partenaire de confiance pour pouvoir se concentrer sur leur métier : apporter de la valeur à toute l’entreprise. En ce sens, l’offloading répond parfaitement à leurs besoins.
Près de neuf DSI sur dix (89 %) estiment que la transformation digitale au sein de leur organisation s’est accélérée au cours des douze derniers mois. 58 % pensent même qu’elle va continuer à prendre de la vitesse[2]. Que ce soit sous l’impulsion des nouvelles technologies ou de la crise sanitaire, les entreprises sont en train d’opérer un changement majeur dans leur organisation. Le télétravail tend ainsi à s’inscrire dans la durée, modifiant considérablement les besoins en outils collaboratifs. Toutefois, ces changements ne sont pas sans impact sur le réseau d’entreprise.
Des réseaux de plus en plus saturés
Désormais, l’entreprise se veut mobile, connectée, étendue et ouverte sur son écosystème externe. Des nouveaux enjeux en communication et en collaboration qui impliquent de bénéficier en permanence d’une bande passante suffisante pour fluidifier les échanges, proposer une expérience utilisateur optimale et assurer la continuité d’activité.
Néanmoins, les connexions massives et les nombreux échanges qui en résultent risquent d’entraîner la congestion du réseau. La moitié des organisations utilisant des outils collaboratifs de type Office 365[3] constatent en effet au quotidien des problèmes de performance réseau. Parmi les raisons, les données échangées sont plus nombreuses mais également beaucoup plus lourdes. Désormais, les collaborateurs communiquent en temps réel et via des flux vidéo. En 2021, les fichiers vidéo représenteront plus de 80 % du volume d’informations échangées via internet[4]. Le premier confinement a ainsi entraîné une hausse de 30 % du trafic internet en France[5].
De même, fin 2019, moins d’un quart des PME françaises[6] étaient raccordées à la fibre optique, dont le déploiement a connu un coup d’arrêt du fait de la crise sanitaire. Résultat, en mars dernier, de nombreuses entreprises ont dû renforcer leur réseau dans l’urgence… Mais très peu ont pensé à optimiser leur infrastructure existante.
L’offloading pour mieux maîtriser son réseau
Si les solutions d’optimisation réseau existent, à l’image du SD-Wan, elles ne sont pas sans générer une complexité et des coûts supplémentaires pour la DSI. Et les nombreuses options proposées ne répondent pas toujours au besoin immédiat des équipes IT. C’est pourquoi il est essentiel de se demander en premier lieu si vous êtes bien certain que votre réseau est parfaitement dimensionné selon vos usages. 70 % de la bande passante seraient utilisés par des flux non critiques.
Avec l’offloading, la question ne se pose plus. Seul prérequis : l’entreprise doit disposer de deux liens mais dont la qualité n’est pas nécessairement égale. Et contrairement à une solution SD-Wan, nul besoin d’ajouter une couche logicielle à l’infrastructure existante. C’est une couche d’intelligence que l’offloading amène au réseau, permettant ainsi d’optimiser ce dernier en fonction des usages réels d’applications et donc des enjeux business de l’entreprise.
Comment ? En utilisant les deux liens (le lien principal et le lien de backup) simultanément et en répartissant intelligemment les flux selon leur niveau de criticité. À la DSI de définir quelle application doit transiter sur quel lien. Par exemple : les applications critiques de type CRM et ERP via le lien principal, et les flux moins essentiels (streaming, navigation web…) sur le lien secondaire. En conséquence, en exploitant tout le potentiel de l’infrastructure existante, il n’est plus nécessaire d’augmenter ses capacités en bande passante pour répondre aux besoins, même accrus, de collaboration.
La fluidité en toute simplicité
Pour les collaborateurs, si la solution n’apporte pas de nouveaux usages, elle permet en revanche de fluidifier le transit d’informations des applications métiers utilisées au quotidien. Pour la DSI, les bénéfices sont multiples. Tout d’abord, elle peut limiter le risque de saturation concernant les données vitales de l’entreprise. Elle améliore ainsi la performance des applications critiques sans allouer de temps ni de ressources supplémentaires à la gestion de la solution, entièrement externalisée auprès de l’opérateur. Un avantage concurrentiel majeur puisque près des trois-quarts (74 %) des DSI considèrent que leur organisation perdra en compétitivité si l’IT ne réduit pas le temps consacré à des tâches à faible valeur ajoutée[7].
Autre atout : plus besoin désormais de s’appuyer sur les retours des utilisateurs internes pour connaître l’état du réseau. Un enjeu clé, 72 % des DSI plébiscitant l’accès à une plateforme de monitoring unique et unifiée, couvrant tous les cas d’usage[8]. En s’intégrant facilement à l’infrastructure en place, l’offloading vient parfaitement compléter les outils de visibilité applicative et de protection pour apporter une vraie proposition de valeur. Le responsable IT peut désormais, grâce aux offres de son opérateur, contrôler ses flux, bloquer les applications suspectes et obtenir une vue 360 de l’activité réseau.
Fini la course au débit et au surdimensionnement. Avec l’offloading, en quelques jours à peine, le réseau d’entreprise est prêt à être utilisé à son plein potentiel. Interlocuteur unique, l’opérateur prend en charge la mise en œuvre et la gestion de la solution, permettant ainsi aux équipes IT de se focaliser sur leur véritable valeur ajoutée. Un gage de compétitivité majeur dans un environnement complexe en constante évolution.
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[1] Selon le 2020 Global CIO Report rédigé par dynatrace, novembre 2020 – https://www.dynatrace.com/cio-report-automatic-and-intelligent-observability-1/
[2] Selon le 2020 Global CIO Report rédigé par dynatrace, novembre 2020 – https://www.dynatrace.com/cio-report-automatic-and-intelligent-observability-1/
[3] 2019 Office 365 Migration Survey, par TechValidate et Zscaler, juin 2019 – https://www.zscaler.com/resources/ebooks/2019-office-365-migration-survey.pdf
[4] Cisco Annual Internet Report, 2018-2023 – https://www.cisco.com/c/en/us/solutions/executive-perspectives/annual-internet-report/index.html
[5] Selon une étude menée par Netscout, mai 2020 – https://www.netscout.com/blog/Network-Traffic-in-the-Age-of-COVID-19
[6] Selon le Baromètre annuel de la fibre en entreprise, Ifop / Coverage, octobre 2019 – https://www.covage.com/actualites/etude-ifop-covage-2019-sur-la-fibre-en-entreprise-moins-d1-4-des-pme-francaises-beneficient-dune-connexion-fibre-optique/
[7] Selon le 2020 Global CIO Report rédigé par dynatrace, novembre 2020 – https://www.dynatrace.com/cio-report-automatic-and-intelligent-observability-1/
[8] Selon le 2020 Global CIO Report rédigé par dynatrace, novembre 2020 – https://www.dynatrace.com/cio-report-automatic-and-intelligent-observability-1/