Télétravail : Plus vite, plus fort, plus loin

L’année 2020 a fait vaciller toutes les certitudes. Nouveaux modes de consommation, codes sociaux repensés, abandon de la poignée de main et regards plus expressifs : il a fallu tout réapprendre… Jusqu’à notre façon de travailler ! Après l’urgence, il s’agit de pérenniser un télétravail qui va s’imposer durablement…

En mars 2020, en moins de 48 heures, le télétravail s’est imposé comme l’unique moyen (ou presque !) d’assurer la continuité de l’activité. 48 heures, qui ont fait davantage avancer la transformation digitale et l’acceptation du travail à distance que les trois dernières années. Pour relever ce défi, les experts de Linkt se sont mobilisés afin de faire face à l’urgence. « En mars, nous avons vécu un télétravail subi et il fallait réagir vite », confie Julien Robert, Directeur des Opérations client pour Linkt.

Une réactivité qui a permis non seulement d’assurer la continuité de l’activité, mais, surtout « de le faire dans des conditions de sécurité optimales grâce à nos solutions VPN et notre firewall cœur de réseau, tout en absorbant une charge inédite, car les bandes passantes ont été fortement sollicitées ». L’enjeu, après un deuxième confinement et alors que la perspective d’un troisième retour forcé à la maison pour les collaborateurs semble se profiler, « c’est de pérenniser les infrastructures, les organisations et les usages pour que l’activité subisse le moins de perturbations possibles », affirme Julien Robert.

Télétravail : prêt à affronter 2021 !

« Au matin du 17 mars dernier, se souvient Stéphane Thirion, Responsable Infrastructures et réseaux pour ISL Ingénierie, l’ensemble de nos équipes sont passées en télétravail ». Un serveur VPN était déjà déployé dans le système d’information d’ISL mais rien ne garantissait à 100% que la connexion de l’époque puisse supporter la centaine de connexions simultanées.

L’autre difficulté, au-delà de la résistance de l’infrastructure, c’est que tous les collaborateurs n’étaient pas équipés d’un ordinateur portable. « La veille du premier confinement, certains de nos ingénieurs sont partis avec leurs PC de bureau sous le bras », indique Stéphane Thirion. En octobre, les 30 derniers PC fixes ont ainsi cédé la place à des portables. « Nous avons par ailleurs doté l’ensemble de nos collaborateurs d’un écran déporté afin qu’ils puissent travailler de chez eux dans les meilleures conditions ».

Mais au-delà de l’ergonomie du poste de travail, d’autres arbitrages ont été pris. « En juin 2020, nous avons basculé chez Linkt afin d’augmenter les débits de nos liens et avons finalisé le déploiement de la téléphonie IP ». Un choix qui, malgré un contexte délicat, s’avère payant. « Nous sommes prêts pour affronter les aléas de 2021, notre infrastructure réseau est en place et la façon dont notre chargée de déploiement chez Linkt nous a accompagné, nous a permis de maîtriser un calendrier ambitieux ».

Et après ?

« Ce que nous aura rappelé brutalement cette année 2020, observe Julien Robert, c’est que les collaborateurs doivent pouvoir disposer de leurs données, de leurs outils du quotidien en toutes circonstances ». Parce que l’ensemble des services et solutions (Trunk SIP, firewall, compatibilité avec Teams…) se trouvent sur le cloud de Linkt, la continuité de l’activité est garantie en présentiel comme en distanciel.

« Avant les confinements, tous nos collaborateurs n’étaient pas éligibles au télétravail, note Stéphane Thirion.  Ce n’est plus le cas désormais. Les événements ont démontré que c’était possible, mais il nous a fallu unifier nos outils et nos équipements. C’est une avancée positive ». Une avancée qui a replacé les acteurs du SI et de la connectivité au cœur des stratégies. « Les directions générales comme les collaborateurs ont beaucoup appris et sont plus sensibles aux enjeux de connectivité et de sécurité. Quant aux équipes de Linkt, elles restent pleinement mobilisées pour aujourd’hui, comme pour demain », conclut Julien Robert.